Crucifié pour nous :

Il y a plus de deux milles ans déjà,
Le Seigneur lui-même est venu mourir pour moi.
Bien sur son but n’était pas seulement d’être crucifié,
Mais ce moyen fût le seul pour que Satan soit ridiculisé.

Il a souffert des pires ignominies,
Au dernier instant le Père, s’est même détourné de lui.
Ainsi de son royaume il a ouvert les portes,
Pour que quiconque croit en lui, soit sauvé de la sorte.

Par son sang coulé à la croix,
Il a chassé le mal qui régnait en moi.
Oui, car donnant son fils en gage,
Le père a payé le prix de tous nos outrages.

Ainsi par le pouvoir de la rédemption,
Par le simple fait d’avoir demandé pardon,
Je suis sorti de ce monde en déclin,
Pour être conduit sur un doux chemin.

Père tout puissant merci de ton sacrifice,
Merci encore d’avoir offert ton fils.
Ce frère de perfection, dont je souhaite me rapprocher,
Et que par ta seule grâce un jour tu me laisseras égaler.

Amen

La descendance illégitime :

Nous voilà revenu, il y a prés de cinq cent ans,
Comme dans une France tenue par un catholicisme sanglant !
Interdisant la lecture, tout en brûlant les livres.
Nos frères appelés protestants, attendaient de Dieu qu’Il les délivre.

De nos jours bien heureusement, vivre sa foi nous est permis,
Dans notre pays cosmopolite, chacun voit où il prie.
Pourtant tous ces chemins, ne conduisent pas à éternelle,
Un seul mène à la paix, à un amour fraternel.

Nous voilà donc revenu dans ce temps de confrontation,
Entre les frères Musulmans, qui vivent leur foi sans passion.
Puis nous Évangélique, poussé par l’Esprit saint,
A combattre rempli de foi, pour chasser le Malin.

Tous les jours autour de moi, je constate la détresse,
De ses enfants bénis mais que la religion délaisse.
Dans leur esprit emplie de confusion,
Satan sème le trouble, pour qu’ils oublient le pardon.

Mais aujourd’hui Dieu répond à Sa promesse,
Car aucun de Ses enfants, jamais Il ne délaisse.
Alors en son temps, le Seigneur des Armés,
A préparé Ses combattants, Il a armé Ses chevaliers.

Pour vous enfants issus, de la descendance illégitime,
Dieu le Père, Créateur, a préparé un destin sublime,
Il attend votre venue, dans Son Royaume merveilleux,
Celui là bien présent, sous le royaume des Cieux.

Ce que j’étais avant de te connaître :

Avant de rencontrer, celle qui est ma femme aujourd’hui,
Je croyais être aimant, et respecter autrui.
Malheureusement pour moi, j’en étais bien loin,
Et puis tu es venue, pour me révéler ce point.

Dans mon plus profond j’ai cru, lui témoigner mon amour,
Mais je me suis trompé, j’ai commis des erreurs sur mon parcours.
Oui car à défaut d’aimer, j’ai causé du chagrin,
Poussé par le mal, j’oubliais de faire le bien.

Comment ne pas revenir, sur ces années de souffrances,
Ces années de tristesse, à rechercher la délivrance.
Manquant d’amour présent, tout au tour de moi,
Celui que je cherchais, dans mes amis d’autrefois.

Alors je me suis confié, à mon fidèle compagnon,
Celui qui écoute, qui jamais ne répond.
Oui c’est sur le clavier, de mon ordinateur,
Que j’ai couché mes doutes, témoigné de ma peur.

Car il n’y avait pas d’amour,
En tous ces gens là.
Ces gens qui tous le jours,
Se retrouvaient chez moi.

Et puis elle est venu balayer de sa présence,
Tout ces mécréants qui pourrissaient mon existence.
Ils ont disparu, sans même faire un bruit,
Mais l’homme que j’étais, sur elle a fait couler la pluie.

J’ai usé ses sentiments, limite à les détruire,
Alors elle s’est renfermée, car elle voulait me fuir.

Voilà ce que j’étais avant de te connaître,
Voilà l’homme que j’étais vivant dans le paraître.
Mais toi Dieu tout puissant, tu es venu pour elle,
Pour effacer son chagrin, tu m’as pris sous ton aile.

Ce que Dieu a fait de nous :


Du temps où j’étais païen, livré à Satan,
J’étais dans le malheur, j’avais peur du présent.
J’ai laissé aller mon âme à de stupides pressions,
Prenant la dérive, pour couler vers le fond.

D’autres choses de prévues, il y avait pour moi d’écrire,
Valeureux combattant, voilà ce que sera ma vie.

Complètement brisé,
Où simplement anéantit.
Dans qu’elle misère j’étais,
J’avais perdu l’esprit.

Pourtant pas si seul, au plus profond du désespoir,
Car il y avait à mes côtés un Père pour me sortir de noir.
Devant lui j’ai pleuré, puis demandé pardon,
Il s’est approché de moi, et m’a offert la rédemption.

Depuis ce jour sous Ses yeux,
Je vis dans un royaume merveilleux.
Je m’attache à rester digne, face à ce cadeau si précieux,
Me laissant conduire dans sa présence, m’illuminant de milles feux.

L’apprentissage n’est pas facile, pour un fils qui est rebelle,
Mais pourquoi donc résister, à ce cadeaux venu du ciel.
A nous l’amour, la paix, l’éternité,
A Lui la gloire, la sagesse, et la sainteté .

Soyez encouragés mes frères :


Je sens au fond de vous, comme des liens qui vous tiraillent,
Il me semble alors, que Satan perse vos entrailles.
Soyez encouragés mes frères, car le Seigneur est avec vous,
Fortifiez-vous alors de cet amour qui est pour vous.

Oui, car dans sa bien vaillance,
A vos côtés campé, il n’y aura pas d’alternance.
A la moindre faiblesse, à la moindre défaillance,
En lui placez, toute votre confiance.

Réjouissons-nous ensemble, car la faiblesse de l’homme,
Et pour notre père des cieux une chose qu’il vous pardonne.
Après tous mes frère, Dieu à créé le monde,
Et c’est de son amour, qu’entièrement Il l’inonde.

Soyez alors encouragé, mes frères,
Car c’est en vous qu’il espère,
Je vous invite à mon image,
A ne plus jamais lui faire outrage.

Amen

Dans ton royaume :


Dans ton royaume Seigneur,
Il n’y a pas de doutes.
D’être dans l’erreur,
D’être mis en déroute.

Car je suis fortifié,
Par ce qui te glorifies,
Car mon cœur rempli est,
D’un amour infini.

Pourtant mon bon Seigneur,
Vivant dans ta présence.
J’ai parfois bien trop peur
De rater mon existence.

Non pas vivre pour moi,
Mais vivre dans ta présence.
Uniquement pour toi,
Au milieu de ta substance.

Fait moi goûter à tout,
Laisse moi vivre de tes bienfaits.
Dans ton mon de qui est fou,
Vivre de ce que tu as préparé.

Sais dans ta parole,
Plus encore tes paraboles.
Que ton royaume est décrit,
C’est celui dans lequel je vis.

Amen

Comme des petits enfants :


Comme des petits enfants nous devrions voir le royaume de Dieu,
Car ce qui est dit n’est que vérité à leurs oreilles et à leurs yeux.
Ils croient avec innocence à ce monde de perfection,
Puisqu’il leur est offert, pourquoi lui dirait-il non.

Un enfant en général,
Ça ne voit pas où est le mal.
C’est pourquoi à fortiori,
Il est détaché du souci.

En grandissant par contre, quand la douleur est face à lui,
Il n’a pas d’autre choix, que de se détacher d’autrui.
Ce n’est pas qu’il n’éprouve aucune compassion,
Mais c’est plutôt par amour, une auto protection.

C’est pourquoi mes frères, vivons comme des petits enfants,
Dans le royaume de Dieu, où tout est bien faisant.

Nous maintenant adulte,
Et soumis au péché.
Ce qui pour nous est chute,
Dieu veut nous en débarrasser.

Comme des petits enfants, vivons dans ce monde magnifique,
Où le temps passe lentement, où il n’y a de fric.
Car pour vivre avec Dieu, purifions notre cœur,
Oublions la pression, oublions toutes nos peurs.

Amen

Et Dieu créa la femme :

Adam prit vie, et par amour pour son âme,
Lui arracha une côte, et Dieu créa la femme,
Alors ils s’unirent, et formèrent sous le ciel,
Les premiers enfants, du peuple de l’Eternel.

Ils ont vécu heureux, du moins quelques temps,
Jusqu’à ce qu’Adam manqua, de discernement.
Il mis en cause la femme, d’avoir su le tenter,
Mais c’est par amour, que d’Eden Dieu les a chassés.

A l’homme la labeur,
L’effort pour la survie.
A la femme la douleur,
Les pleurs et les cries.

Bien mal conduit par son péché,
L’homme s’est cru bien autorisé,
D’accabler pour seule fautive la femme,
Du mal qui tous deux les condamnait.

Aujourd’hui notre père,
Qui est le plus aimant.
Viens sortir de l’enfer,
Toutes ses jolies mamans.

Car il est maintenant sûr,
Que Dieu aime les âmes pures.
Et c’est pourquoi mes frères,
Dieu aime toutes les mères.