Louange à L'Eternel

Quand mon cœur est affaibli,
Je loue mon Dieu, lui l’Eternel.
Il me relève me fortifie,
Mon grand Dieu mon Eternel.

Avec mes sœurs, mes frères, alors nous sommes réunis,
Je loue mon Dieu, lui l’Eternel.
Dans la louange, on le glorifie..
Mon grand Dieu mon Eternel.

Lorsque j’exhorte, j’évangélise,
Je loue mon Dieu, lui l’Eternel.
Par mes paroles je prophétise,
Pour mon grand Dieu mon Eternel.

Pour sa grâce la plus exquise,
Je loue mon Dieu, lui l’Eternel.
Alors ma vie, Il harmonise,
Lui mon grand Dieu mon Eternel.

Lorsque je jeûne c’est par amour,
Je loue mon Dieu, lui l’Eternel.
Il porte mon corps sur son parcours,
Lui mon grand Dieu mon Eternel.

Pour ce cadeau fait par amour,
Je loue mon Dieu, lui l’Eternel.
Ma vie je lui offre sans détours,
A mon grand Dieu mon Eternel.

Amen

Dans La Souffrance :


Il y a au fond de moi une lourde noirceur,
Serait-ce le poids de toutes mes erreurs ?
Si c’est bien le cas alors à quoi bon,
Je ne sais pas à qui même demander pardon.

Dans la souffrance je ne reconnais pas Dieu,
Je ne ressens pas l’essence venant des cieux.
La vie est dure, elle tiraille mon existence,
Je cherche mais je ne vois pas où est la délivrance.

Il y a autour de moi une lumière éclatante,
Qui efface de mon esprit ses torpeurs latentes.
Je ne peux ouvrir les yeux, je n’ose comprendre,
Ce qui vient de m’arriver, je suis sorti de mes méandres.

Tout au tour de moi est semblable, tout est différent,
Quelque chose en moi a changé est-ce sentiment ?
L ’amour du père acqui par certitude,
Être maintenant plongé dans sa béatitude.

A Dieu souffrances est autres maladies,
Que le père a envoyées dans l’oubli !
Bienvenu en moi Saint-Esprit puissant,
Je me laisse guider, tu me conduis au firmament.

Amen

Il est l’heure que tu te réveil :


N’entends-tu pas l’appel de ton père ?
Il est là il cris pour te sortir de l’enfer.
N’est pas peur de ce qu’il peu penser,
Il n’est pas là pour te juger.

Tu ouvre les yeux, il coule sur tes joues,
Les larmes d’un fils qui ne sait pas où,
Chercher le réconfort dont il a besoin,
Mais ton père est là il te tend la main.

Humilie-toi, avoue-moi donc tes fautes,
N’est pas peur mon fils nous sommes côtes à côtes.
Je ne cesserais jamais d’être un père aimant.
Oui je t’aime et ce amplement,

Grâce au pouvoir de la rédemption,
Je t’accorde le pardon.
Je te lave de tous tes péchés,
Oui mon fils en ce jour tu renais.

Tu seras le sujet de ma gloire,
Pour qu’en toi je puisse entrevoir,
Le bonheur au quel j’ais crus,
Celui que je n’espérais plus.

Je pose sur toi ma bénédiction,
Et si tu chute demande-moi pardon.
Je ne cesserais jamais de t’inonder d’amour,
Car je t’ai retrouvé et ce pour toujours.

Amen

Le corps est malade :

C’est la mort dans l’âme, que j’ouvre les yeux,
Où sont mes frères, unis deux à deux ?
Ils louent, ils prient, ils exhortent avec confiance.
Et toi mon Dieu, tu me conseilles la méfiance.

Je suis là parmi eux, mais je ne trouve pas ton esprit,
Celui que tu nous donnes, en payant un fort prix.
Par amour par compassion, tu nous sépares du péché,
Je le vois là bien présent, de mes yeux éclairés..

O mon Dieu, ton église est malade,
Un membre est contaminé, d’un mal impalpable.
Je ne comprends pas Seigneur, qu’il puisse encore sortir,
De leur bouche acérée, quelques perfides soupirs.

Ils ont la langue tendue, lorsqu’ils tournent le dos,
Mais mis à la lumière, ils font les doux ils font les beaux.
Dans ma grande déception, tu rappelles à mon esprit,
Que l’homme est pécheur, mais tu en as payé le prix.

Tu me conseilles de prier, de rappeler à leur conscience,
Qu’ils ont donné leur vie, pour le Père sans réticence.
O mon Dieu, ton église est malade,
Un membre est contaminé d’une douleur impalpable.

Amen

Ce à quoi nous sommes destiné :

En venant au monde, qui sait pourquoi nous sommes fais ?
Mais c’est au fil du temps des jours et des années,
Que notre caractère s’affirme, que nous prenons conscience,
De ce qui au fond de nous, à sa réelle importance.

Il arrive pourtant, pour de nombreuses raisons,
Que le corps se laisse aller, à trop de vives passions.
Bien souvent attaché à tant de ressemblance,
Nous laissons filer, le fondement de l’existence.

Ainsi dans le service pour notre Père des cieux,
Du monde elle sera, mise sous les yeux.
La relation qu’il y a, entre l’existence et le destin,
Sera donc relevée et mise dans un écrin.

Sur le fondement de la vie s’appuie la destinée,
Créé pour le service et surtout pour s’aimer.
A chacun de se tenir à sa place,
Sans oublier que Dieu nous sera mis en face.

Amen

Pour toi mon Dieu :

Pour toi mon Dieu je vivrai dans la loi,
Je profiterai de chaque minute pour m’approcher de toi.
Je parcourrai les lignes de ton livre Saint,
Je donnerai un sens à ma vie pour faire le bien.

Pour toi mon Dieu, je sacrifierais ce qui m’est cher,
Je me détacherai de ce qui est terre à terre.
J’oublierai ce qui est matériel,
Car désormais mon regard est tourné vers le ciel.

Pour toi mon Dieu je me lèverai tôt,
Je viendrai te parler à toi qui es là haut.
Je te raconterai mes peines, mes besoins et mes joies,
Pour que par amour tu me prennes dans tes bras.

Pour toi mon Dieu je m’offrirai en esclavage,
Sachant que ton amour tu le donnes en partage.
Etre esclave de ta main mon bon Seigneur
C’est ce tourner vers ce qu’il y a de meilleur.

Amen

Moi Pécheur :

Il eût un temps dans ma vie,
Où je n’étais que pécheur !
Ce temps là est bien fini,
Car j’ai chassé la noirceur.

En ce temps là je mentais, volais, je n’étais qu’un égoïste,
J’ai perdu en moi tout ce que j’avais de pacifiste.
Et puis, je me suis drogué, j’ai renié ma famille,
Enfin j’ai connu la luxure, je suis parti en vrille.

Aujourd’hui j’ai rejoint le père,
Et grâce à lui je me libère.
J’ai expulsé de moi cette salissure.
Ce qui au plus profond n’était que pourriture.

O Seigneur, par ta main pleine de grâce,
Vient encore effacer les dernières traces.
De ma bouche vient donc enlever,
Jurons et autres impuretés.

Ce qui compte pour moi en ce jour,
C’est la force de ton amour.
Je ne serai plus une injure à ton nom.
O Seigneur je te demande pardon.

Amen

Le jour est proche :

L’Eternel de sa voix forte,
Annonce le retour de l’Agneau.
C’est bientôt qu’il ouvrira les portes,
Son armée brandira son drapeau.

Toutes les nations viendront à combattre,
Mais aucune d’elles n’aura raison.
Car l’Eternel ayant conclu un pacte,
Ses guerriers grâce à lui l’emporteront.

Nous tous en Jésus sommes unis.
Ensemble de retour en terre promise,
Nous combattrons ainsi avec lui,
Et Satan n’aura donc plus de mise.

Le jour du Seigneur est proche.
Nous tous soyons donc légers.
Ensemble vidons nos poches,
Pour que le Père puisse nous emporter !

Amen

La Création :

Il n'y a pas plus beau dans tout l’univers,
Que la création faite par le Père !
Dans un élan de pureté simplement égoïste,
Il n’y avait, rien il a fait que cela existe.

Dieu a créé la terre, le ciel et puis les eaux,
Il ajouta la faune, la flore tout était déjà beau.
Mais pour se glorifier, il a fait à son image.
L’humain qui ne peut-être que de passage.

Un homme puis une femme pour l’accompagner,
Le tour est joué l’histoire peu commencer.
Mais ce fût sans se douter que l’homme était pécheur,
Qu’il le laissa aller à sa propre torpeur !

L ’homme étant devenu cupide, imbu de sa personne.
Il a oublié Dieu et s’est mis à faire comme,
Celui-ci n’avait donc jamais pu exister,
Poussé par la colère Dieu l’a donc rattrapé.

Au diable Dieu a fini par livrer le monde,
Mais c’est de son amour pourtant qu’il nous inonde.
Lorsque à l’agonie, limite à succomber,
On lui tend un bras, il vient nous repêcher.

Nous pauvres pêcheurs, issus de la création,
Racheté par le père grâce à la rédemption.
Montrons-nous dignes de son cadeau,
Car le jour du Seigneur est pour bientôt.

Amen

Devenir Chrétien :


Si nous ne connaissons Dieu, nous ne sommes rien,
Abandonnons le péché, pour faire le bien.
Je connais tant d’hommes et de femmes qui font la justice,
Mais pour rien au monde, à Dieu, ne s’offriraient en sacrifice.

C’est lorsque l’on ne sait pas, que Dieu nous cherche encore,
Mais quand on l’a trouvé, il n’y a plus de tort.
Abandonner la chair à plus forte raison,
Pour s’offrir au père et tenir bon.

Si tu n’as pas la foi comme protection dans ta valise,
Ta chair sera sujette à tant de convoitise.
Tu ne résisteras pas à ce qui est devant toi,
Le monde peut soumettre ce qui est sous ton toit.

Il n’y a rien d’autre à faire pour pouvoir devenir bon,
Que de devenir Chrétien et d’accepter le don !
Celui que t’offre le Père passe par la repentance,
Avoue tous tes péchés et ouvre ta conscience.

Amen

Bienvenue dans mon humble demeure :


Bienvenue dans mon humble demeure,
Ici dépose toutes tes peurs.
Je t’offre l’amour en partage,
Repose toi comme dans un doux pâturage.

Parmi nous tu trouveras l’écoute,
Celle qui soulagera tes doutes.
N’est pas de crainte à prendre ma main,
Laisse-toi guider par l’Esprit Saint.

Raconte les malheurs que te fait subir le malin,
Ne regarde pas autour de toi : Ici tu ne crains rien.
Regarde plutôt en toi ce que tu cherches depuis toujours,
Dans le royaume de Dieu, seul règne l’amour.

Nous sommes ici dans la présence de Dieu,
Comme on baigne dans les cieux !
Peux-tu sentir cette plénitude ?
Celle que le Seigneur nous offre par gratitude.

Amen

La Plénitude :


Dans mon cœur lourd plein de tristesse,
Je recherche au fond de moi l’allégresse.
Je suis vide comme épuisé,
Seigneur je viens te rechercher.

J’ai besoin de ta paix dans ma vie,
Délivre moi entend mes cris.
Je suis perdu dans ma solitude,
J’ai besoin de ta plénitude.

Je ressens ta paix m’envahir,
De la noirceur tu viens me sortir.
Je crie à toi O Éternel,
Je crie à toi mon Dieu fidèle.

Alors ma vie tu renouvelles,
Oui tu la rends bien plus belle.
Tu poses sur moi ta plénitude,
J’ai soif de ton étude.

Je suis empli de ta paix,
Car je te tiens dans mes pensées.
Tu es tout ce dont j’ai besoin,
Car sans toi je ne suis rien.

Amen

Les Anciens :

Depuis l’éternité,
Nos aïeux sont choyés.
Non pas pour leur sagesse,
Ni même leur allégresse.

Avant étant enfant,
Ils avaient des parents.
Ils les aimaient de façon tendre,
De tout l’amour qu’ils pouvaient leur rendre.

Aujourd’hui dans leur bouche,
Que de mots qui nous touchent !
Des doux baisers plein de chaleur,
Donnés par l’élan du cœur.

Alors ils vous prennent dans leurs bras,
Vous savez au fond de vous qu’il y a,
En eux le Saint-Esprit,
Celui que l’amour conduit.
Amen

Le Semeur :


Pourquoi mon âme se sent-elle évangéliste ?
Car la parole de l’évangile est semée sur ma piste.
Je suis porté par l’amour de notre Père,
Celui qui est mon seul point de repère.

C’est avec compassion que je regarde le monde,
D’où sort une odeur immonde.
Par la plus grande humilité,
Grâce à Dieu je m’en vais le délivrer.

Il m’a donné l’amure qui fait de moi un bon chrétien,
Elle est portée sur mon dos, tenue à mes reins.
Grâce à elle je tiens ferme face au Diable,
Protégé de la tête au pied, du mal dont il m’accable.

Mes frères un à un, je m’en vais délier,
De cette noirceur que le mal veut faire régner.
Je porte la parole pour les extraire de cette peur,
Ceci est ma destinée, car je suis le Semeur.

Ce que me dicte le Seigneur, me pousse à agir,
Car de son repère Satan il faut faire sortir.
Du bouclier de ma foi, j’éteins les traits enflammés du Malin.
Je le tranche de mon épée grâce à l’Esprit Saint.

Unissons-nous mes frères, seul je ne suis rien.
Ni même l’amour du Père, ni même son chagrin.
Ensemble dans la prière alors nous combattrons.
Et de cette terre, Satan nous chasserons.

Amen

Le Feux Eternel :


Il brûle en moi un feu puissant,
Un feu qui ne saurait être latent.
Je veux crier haut et fort,
Ce que ce feu m’apporte comme réconfort.

Je suis porté par le feu de L’Éternel,
Un feu qui rend la vie bien plus belle.
J’ai au fond de moi la vérité,
Et je ressens le besoin de la clamer.

Seigneur investis moi de ta puissance,
D’amener chacun à la repentance.
Par ta sagesse, ton amour et la foi,
Fais que grâce à moi chacun croit.

Réchauffe encore un peu plus mon cœur,
De ce feu brûlant d’ardeur.
Qu’en moi il ne puisse jamais s’éteindre,
Et qu’ainsi rien je ne puisse craindre.

C’est pour toi le Dieu très haut,
Que je porte pour ta gloire ton flambeau !
Que la lumière de ta sagesse,
Apporte à chacun l’allégresse

Amen

L ‘amour du Père :

Le père ne regarde pas à ce que tu fais,
Mais au plus profond de toi il regarde qui tu es.
Il te connaît bien, surtout tes faiblesses.
Ce n’est pas pour autant qu’il te délaisse,
Au contraire s’est sur elles qu’il s’appuie.
Sur toi il déversera son amour infini.

Il a tant à te donner plus que ton propre père,
Il effacera toutes tes douleurs subies sur cette terre.
Quand il te prend dans ses bras c’est avec compassion,
De tout son cœur il t’offre sa bénédiction.
Alors quand tu regardes vers le lieu très haut,
Tu peux te dire qu’il t’aime et te trouve beau.

Même si tu penses que ta venue sur terre est une erreur,
Alors sache qu’il ne crée pas par hasard, mais par le cœur.
Il est le créateur de toutes choses en tout temps,
Et il y aura toujours une place pour un de ses enfants,
Qui à besoin de lui, qui, à genoux, se repent.
Car il t’aime, et si tu veux de lui, il t’attends !

Amen

La Compassion :

Les souffrances d’autrui sur notre nom,
L ’amour des autres, passe par la compassion.
N’’être qu’empathie,
Ce sentiment qui sur l’amour s’appuie.

Donner une parole réconfortante,
Sans en avoir, la moindre attente.
La moindre des attentions données,
Sera prise comme un Saint baiser.

Tu es en moi je suis en toi,
Car c’est ainsi que j’ai la foi.
En vérité personne n’est compatissant,
Sans que l’amour n’en soit le fondement !

Amen

Dans ma prière :


Dans ma prière Seigneur,
J’y mets mes doutes, j’y mets mes peurs,
J’y mets mes craintes, et mon amour,
J’y mets ma foi, pour toujours.

Je la dédie surtout à Toi,
Qui es là mais qu’on ne voit pas !
Qui nous protège, et qui nous aime,
Qui nous soutient en cas de problème !


Dans cette prière Seigneur,
J’y ouvre aussi très grand mon cœur,
Pour que Tu rentres à l’intérieur,
Que Tu effaces tous mes malheurs !

Et lorsque Tu me feras Saint,
Je serais esclave de Ta main,
Pour servir Ta volonté,
Pour être là à Tes côtés.

Mais ma prière Seigneur,
Parle surtout de mon bonheur,
D’avoir pu Te rencontrer,
Oui, longtemps je t’ai cherché.

Car sans Toi je ne suis rien.
Je ne serais qu’un fou plein de chagrin,
Un homme perdu à l’agonie,
Qui serait tombé dans l’oubli !

La fin de cette prière, Seigneur,
Je voudrais qu’elle dure des heures.
Mais nous avons autre chose à faire,
Qu’à demeurer dans la prière !

Je dirais pour moi de la fin,
Que j’entrevois le droit chemin !
Ce sera toujours avec plaisir,
Que je servirai Tes désirs !

Amen

Aimer

Je ne connais aucun qui sache réellement aimer,
Car dans l’amour il y a aussi la vérité.
Aimer, il faut le faire sans compromis,
On s’aime soi-même, donc on aime son pire ennemi.

Le père lui nous aime avec patience,
Puisqu’il nous laisse le temps de la repentance.
Il nous aime sans avoir de mépris,
Il attend seulement que l’on n’aime que lui.

Pour vivre heureux alors vivons ensemble.
D’un amour mutuel qui jamais ne tremble.
C’est sans arrière pensée que l’on aime son prochain,
Et c’est avec compassion que l’amour sert le bien.

Je donnerais ma vie pour l’amour du Père,
Je donnerais ma vie pour être aimé de mes frères.
Par amour je servirais leur plus profond désir,
Ainsi pour le meilleur comme pour le pire.

Je n’ai peur de rien ni même du mépris,
Car derrière le bouclier de l’amour je m’appuie.
Je m’en sers comme une arme à double tranchant,
D’un côté j’embrasse, de l’autre je répands.

Enfin je dirais que l’amour est le fondement,
Que l’être humain en est son complément,
Car, Dieu, en nous créant, avait pour seul pensée,
L ’amour par lequel il nous fait subsister.

Amen

Père....


Père, je souffre de voir l’incrédulité rôdant au tour de moi,
Père, où sont tes enfants qui ne vivent que pour toi.
Je les entends se réclamer de ta personne,
Pourtant dans leur bouche que de mauvaises notes qui sonnent.

Comment peuvent-ils se nourrir de ta présence ?
Comment peuvent-ils nourrir de vaines espérances ?
En qui ont-ils confiance si ce n’est pas en ton nom ?
C’est sûrement Satan qui est leur grand patron !

Père je suis stupéfait de leur ignorance manifeste,
Et pourtant à mon oreille tu me souffles que le temps presse.
Ne savent-ils pas enfin,
Que tu offres à celui qui demande ?

Car pour celui qui a faim,
Ton corps est une offrande !
Je me résous tout de même,
A demeurer dans la prière,

Bien que l’envie me vienne,
D’exciter leurs nerfs.
Je reste confiant en toi, car tu promets la vie,
Et dans chacun de nous la repentance portera ses fruits.

Amen

Je suis faible et proscrit :

O Seigneur, toi qui es grand et puissant,
Je suis en peine, perdu dans le tourment.
Mon âme est lasse, vide de toute essence,
Mon esprit se meurt, vide toute espérance.

O Seigneur tu es venu me chercher, j’étais à l’agonie,
Me voilà maintenant, de nouveau faible et proscrit.
Tu m’as donné la vie, mais j’ai eu bien trop peur,
De ne savoir la saisir et d’être dans l’erreur.

O Seigneur, ma honte est grande de t’avoir délaissé,
D’avoir fait le choix, de mon libre arbitre égaré.
Le désespoir, qui guide mes pas dans le noir,
M’éloigne d’une vie de lumière, et de paix à ta gloire.

Ton amour est immense, il est même sans fin,
Je m’accroche à cela, pour voir le chemin.
Celui qui se dessine, pour servir ton nom.
Tu me donnes la vie, je dois la saisir d’un bond.

O Seigneur, comment rester prés de toi ?
Te sentir à mes côtés, bercé dans tes bras.
La confiance dans l’homme est dure à témoigner,
Pourtant je cherche mais je n’arrive pas à m’engager.

O Seigneur toi qui es d’une telle indulgence,
Lorsque mes genoux sont fléchis, tu me nourris d’espérance.
Si je m’éloigne trop loin de ton cœur,
Sans hésiter, tu te rapproches et m’empêches d’avoir peur.

Amen

A toi mon frère perdu :


O toi mon frère qui semble être perdu,
O toi mon frère que personne ne regarde plus.
Raconte-moi tes malheurs, raconte-moi ta tristesse,
N’est donc pas peur que moi je te délaisse.

Tu lèves les yeux sur moi, et ils sont pleins de pleurs,
La vie t’a brisée, et conduit dans l’horreur.
Je te sers dans mes bras, te montre combien je t’aime,
Tu ne me repousse pas, et tu oublis ta peine.

Je ne sais toujours pas, ce qui t’a conduit là,
Mais ce qui est certain, c’est que tu n’y resteras pas.
Après un long moment, passé à ne rien dire,
Je regarde au fond de toi, et pousse un bref soupir.

Car ta vie est précieuse, pour celui qui m’envois,
Peut importe ce que tu as fais, ce qui est important c’est toi.

Tu hurle ta colère, contre Dieu tout puissant,
Tu dis l’avoir aimé, adoré amplement.
Il t’a promis l’amour, il t’a promis la vie,
C’est ce que tu recherches, que tu attends de lui.

Maintenant mon frère, il va falloir faire face,
A tous ces démons, à ce qui te tracasse.
Il n’est plus question pour toi que tu vives délaissé,
Le seigneur t’a entendue, il est venu te chercher.

Viens prends ma main mon frère,
Pour être ensemble uni.
Marchons donc d’un pas fier,
Par le sang de Jésus-Christ.

Amen

Gloire à Dieu :

Oh oui mes frères gloire à Dieu!
Car notre Seigneur est grand et majestueux.
Par sa générosité pleine d’amour,
Il emplit de bonheur notre parcours.

Je témoigne comme fidèle serviteur,
Car s’il m’a choisi ce n’est point par erreur.
Il m’a mis sur le bon chemin,
Pour que je ne connaisse plus le chagrin.

C’est en ce jour dans ma destinée,
Que Dieu m’a amené à vous rencontrer.
Il l’a choisi certainement sans hasard,
Il a tout fait pour que je ne sois pas en retard.

Oh oui mes frères gloire à Dieu,
Car notre Seigneur est grand et majestueux.
Il m’a offert la rédemption,
Simplement par son pardon.

Vous les moissonneurs pour le créancier,
Vous les faucheurs du blé mûr que j’étais.
On a semé sur moi comme dans une terre fertile,
Il est donc venu récolter de sa main habile.

Il m’a offert la vie éternelle,
Pour la passer sous son ombrelle.
Oh oui mes frères gloire à Dieu,
Car notre Seigneur est grand et majestueux.

Amen

O Israël :

O Grande Israël,
O toi la belle.
Ton nom est dans la prophétie,
Nous t’avons à jamais à l’esprit.

Toi qui as souffert,
Tiraillées par tes faux-frères.
Aujourd’hui tu t’embellis,
Sous les yeux de tes ennemis.

Tes enfants se sont dispersés,
Sur le monde ils se sont cachés.
De retour vers la terre promise,
Ils goûteront à tes friandises.

C’est ainsi que le peuple Juif,
Uni par le même esprit vif,
Un jour se regardera,
Et toi Jésus, le libèrera.

Nous tous enfants de Dieu,
Rachetés à prix d’or à ses yeux.
Ensemble nous nous unirons,
Et la prophétie nous garantirons.

Ce jour là Dieu notre Père,
Satan sortira de son repère.
Il l’enverra au fin fond de l’oubli,
Pour que le monde demeure libéré de lui

Amen

Pardonnons nous :


Il est souvent difficile de pardonner,
Car le cœur, à de mauvaises réflexions, nous laisse aller.
Il est bien moins aisé de dire pardon,
Que d’apporter à tout un chacun la bénédiction !

Comment sans avoir été pardonné nous même,
Nous pourrions alors, pardonner comme on aime.
Le Seigneur sur la croix à l’agonie,
A lui-même pardonné pour que jamais on oublie.

L ’outrage commis sur moi,
Par l’amour je l’éloigne de toi.
Qui serais-je pour ne pas accepter,
L ’effort que tu fournis pour te racheter.

Offrons-nous donc une autre chance,
A genoux faisons acte de repentance.
Peut-être ais-je fait une faute à ton égard,
Je te demande pardon s’il n’est pas trop tard.

Accordons-nous le pardon mutuel,
Pour vivre dans l’amour fraternel.
Il n’y a plus de faute à mes yeux,
Je t’absous comme l’a fait pour nous notre Père des cieux.

Amen

Le troupeu de Dieu


Dieu a créé le monde, la terre et puis les eaux,
Il a créé les hommes pour être son troupeau.
Il guide chacun de nous de Sa main fidèle,
Tout autant qu’Il est le berger du ciel.

Il a formé un peuple dispersé sur la terre,
Chacun d’eux se recherche ne pouvant plus se taire.
Ils crient haut et fort la parole du bon Dieu,
Pour que chacune des brebis entendent et suivent des yeux.

Les enfants de Dieu rassemblés aujourd’hui,
Sont tous frères dans le sang de Jésus-Christ.
Ils s’aiment les uns les autres et se réconfortent,
A chacun dans l’amour une parole ils s’apportent.

Ensemble ils recherchent l’affection du Père,
Celui qui, par sa voix, donne des repères,
Il guide le troupeau le nourrit de son amour,
Il est là, bien présent, de nous tout autour.

C’est ainsi pour sa gloire que chacune des brebis,
De sa parole, son amour, sa sagesse se nourrit.
Elles se suivent, s’entraident et s’encouragent,
Enfin réunies, se désaltèrent du même breuvage.

Amen